Travailler en circuit court et local pour une production (encore) plus responsable

Cette année 2020 nous a réservé son lot de surprises et d’incertitudes. Lors du premier confinement, notre activité a durement été directement touchée par des retards de livraison et d’approvisionnement. Mais ces difficultés, loin de nous affaiblir, nous ont amené à nous adapter et à nous réinventer. Le confinement aura, finalement, eu aussi du bon…

Les coulisses PPMC

Un circuit court et local intensifié

Lors de la première vague de Covid, la demande de masques de protection a littéralement explosé. Nous avons rapidement participé à l’effort de production locale en offrant du tissu aux associations de couturières morbihannaise. Puis rapidement, c’est à la demande de nos client(e)s, déçu(e)s de ne pas pouvoir commander un masque dans nos jolis tissus de collection, à laquelle nous avons du répondre.

Nous nous sommes mis rapidement à la recherche d’une solution locale. Comment couper des milliers de mètre de tissu, avant de les coudre dans nos ateliers, sans compter sur nos partenaires historiques, coupés de nous à cause du blocage des transports ?

La solution est venue d’une école d’ingénieurs de Vannes dans le Morbihan : l’ICAM. Son équipe enseignante et ses élèves ont été capables de répondre à notre demande et de découper au laser de très grandes quantités de tissu. C’est ainsi que notre partenariat avec cette école voisine est né ; nous permettant de coudre des masques ou de les proposer en kit de couture sur notre site en un temps record.

Grâce à eux, nous avons gagné en réactivité et nous sommes fiers de travailler en circuit court, avec une entreprise morbihannaise.

Une démarche locale qui ne fait que commencer...

En novembre dernier, nous avons prolongé ce partenariat avec cette école de Vannes pour la découpe de nos tissus destinés à la confection de Furoshiki. S’inscrivant dans notre démarque éco-responsable, ce nouveau produit est la promesse de réduire les emballages papier pour Noël ou les anniversaires, en les remplaçant par des emballages tissus beaux et réutilisables !

Plus de 10 000 pièces de tissu ont ainsi été découpées en 3 semaines avant d’être cousues dans notre atelier de Saint-Philibert. Nos tissus auront donc fait un minimum de kilomètres avant de se retrouver sous vos sapins. Et cela, en plus de nous rendre fiers, nous poussent à continuer à développer notre production en circuit court et de préférence locale. Nous tenons et avons à cœur de développer une filière de production durable.